Immergé dans des sons électroniques, Glauque erre entre colère et amour, entre calme et bruit, entre questions et certitudes. Ici, où la saleté est belle, les mots et les sons entrent en collision tandis que les sentiments continuent de se déchaîner. Puis le silence … une fragile intimité s’enfonce dans la tendresse rassurante de ceux qui cherchent à se convaincre. Certains les comparent déjà à Fauve, d’autres à Odezenne. Nous, on les trouve unique !
Venez donc vous faire votre propre avis !