Nouvel OVNI dans le paysage punk rock francophone, OPIUM DU PEUPLE revoie avec une ironie non dissimulée les plus grands tubes de ces 40 dernières années : « Là-bas de Goldman », « Je suis un Homme » de Polnareff, « L’amour en mer » de Lavil, « Marche à l’ombre » de Renaud, « Sois fainéant » de Coluche…
A la manière d’un rouleau compresseur appuyé d’une batterie de marteaux piqueurs et tronçonneuses électriques, O.D.P. n’hésite pas et tranche franchement dans le lard !
Une sorte d’éléphant-band dans une boutique de porcelaine ?
Personne ne sait qui ils sont ! Fils spirituels de Brassens, fils illégitimes de Pierre Vassiliu, cousins d’Orlando ou fans inconditionnels de Bourvil, il semble qu’OPIUM DU PEUPLE soit un sideproject de musiciens issus de la scène indépendante francophone.
OPIUM DU PEUPLE
PRINCESSES LEYA
L’histoire commence par 4 musiciens qui décident de former un groupe de metal pour conquérir le Hellfest. Mais les membres du groupe n’ont clairement pas la même vision de la musique. Dédo, metalleux jusqu’au bout des chaussettes et autoproclamé « le prince des ténèbres » s’oppose à Antoine Shoumsky, amateur de pop acidulée, pour une histoire bien moins bête que ses protagonistes La leçon c’est qu’à la fin du concert, des metalleux et des non-metalleux se tiennent par la main, parce c’est surtout un concert sur la tolérance, l’alcool et les amitiés à court terme qui en découlent… Un show, entre sketch et chansons, parodies et reprises, durant lequel les Princesses Leya cassent notamment les clichés sur le metal ! Inédit !