EPIQ est un ovni. Ses influences vont du jazz de « Tigran Hamasyan » au metal de Béhémoth, en passant par les rythmes africains guinéens. Le métalleux aura son lot de double pédale saupoudré de quelques blast, sa cousine y trouvera sa dose de Dance Floor, son cousin son quota de burlesque et ses parents les prendront pour des hippies mal embouchés. Aussi improbable qu’extrême en concert. Laurent Bourlaud dont l’exposition sera visible dans le bar du Camji du 7 avril au 21 juin et qui a réalisé la pochette d’album d’Epiq dessinera en direct pendant le concert.
GENDARMERY
Par des interventions dans les soirées les plus risquées, Julien et Christophe adressent aux jeunes (et moins jeunes) un message préventif et accessible, tel un chant d’espoir. Pour cela, ils ont choisi de se former à ce qui touche au mieux leur public : la musique et la dance. Un boys band de gendarmes? Bien plus que cela. Peut être la gendarmerie du futur…
CHEB SHATA
Cet alchimiste de la fête propulse avec démesure la tradition dans le poste, le tout sans la moindre considération des conséquences et autres séquelles potentielles. Alors il n’y a plus d’équivoque possible, il devient le chanteur par excellence, une évidence, pour ce qui reste une des plus renversantes musiques du monde, faite de partage et de rencontres. Un drôle d’ensemble, éclectique à souhait, habillé de modernité.