EPIQ est un ovni. Ses influences vont du jazz de « Tigran Hamasyan » au metal de Béhémoth, en passant par les rythmes africains guinéens. Le métalleux aura son lot de double pédale saupoudré de quelques blast, sa cousine y trouvera sa dose de Dance Floor, son cousin son quota de burlesque et ses parents les prendront pour des hippies mal embouchés. Aussi improbable qu’extrême en concert. Laurent Bourlaud dont l’exposition sera visible dans le bar du Camji du 7 avril au 21 juin et qui a réalisé la pochette d’album d’Epiq dessinera en direct pendant le concert.
